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 Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]

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Miya Fujita

Miya Fujita


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MessageSujet: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptySam 18 Juin - 23:30








Miya Fujita Ootori


○ Nom : Fujita Ootori.
○ Prénom : Miya.
○ Age : 16 ans.
○ Établissement : Ouran.
○ Classe : Première A.
○ Groupe : Prolétaire dans l'âme !
○ Orientation sexuel : Aucune importance.



Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] Icon11







Physical Appearance


Qui a dit qu’il fallait totalement maniaque pour avoir un corps de rêve ? On ne peut pas dire que Miya soit dans ce cas-là en voyant toutes les confiseries qu’elle peut avaler avec appétit, et pourtant sa silhouette en fait jalouser plus d’une…et en attire également plus d’un ! Si seulement la demoiselle était plus sociable, elle aurait sans doute autant de succès que sa sœur. Oh bien sur quelques garçons s’intéressent à elle pour cette aura de solitude, de mystère, mais pas autant que sa sœur qui est si sociable et qui respire la joie de vivre…en apparence. Elles sont si identiques…et si différentes à la fois. Saurez-vous un jour les différencier ?

Des petits pieds élégants avec n’importe quel type de chaussure, des jambes et des cuisses fines rendant la jeune demoiselle classe qu’elle porte une jupe ou un pantalon, un ventre plat et des hanches bien arrondies permettant de le découvrir un petit peu sans gêne, une taille de guêpe ne choquant pas en cas de vêtements trop moulants, une poitrine ni trop généreuse ni pas assez ne laissant pas les décoté pencher dans la vulgarité, de fines épaules et des bras guère plus épais que le reste ne complexant pas lorsque l’on veut les découvrir, avec finalement de vrai mains de pianiste, des doigt fin et longs, tant que trouver des bagues à leur taille révèle de l’impossible. Ceux qui ne les connaissent pas vont sans doute croire qu’elles ne mangent pas assez ? C’est totalement faux, dans le cas de Miya c’est juste qu’elle adore le sport et sa silhouette le montre bien fièrement. Tout jusqu’à la longueur de leurs ongles est identique pour ces deux parfaites jumelles. Tout ? Non, il y a peut-être un tout petit moyen de les différenciés, mais il n’est pas fiable, puis vous ne savez pas ce que je risque si je dévoilais leurs secrets. Comprenez, j’ai une femme et des enfants…

Pour ne d’ailleurs pas les mettre en danger de mort je vais gentiment continuer et finir mon travail pour vous laisser avec elles. Passons à son allure. Elle se tient, a vrai dire, comme n’importe quelle autre demoiselle du milieu prolétaire, mais attention ! N’importe quelle autre demoiselle du milieu prolétaire bien élevée, précisons bien ! Son père n’a eu beau pouvoir éduquer ses jumelles que onze années durant, il a fait là un très beau travail. Les demoiselles se tiennent la plupart du temps bien droites, leurs gestes son souples, on voit dans leurs façons d’être qu’elles se sentent à l’aise où qu’elles soient. Cela se voit sans doute moins pour l’impassible, après tout même si on la voit a l’aise, contrairement à sa sœur elle ne cherche pas à s’intégrer, comme si l’ombre lui convenait parfaitement.

Sa peau est d’une rare douceur, car, d’un point de vue médical, il paraîtrait également que sa peau est fine. Mais laissons les médecins débattre de ce sujet et continuons. Une peau douce et également très blanche. Les raisons de cette extrême pâleur ? Nul ne la connait mais c’est exactement pareil pour sa sœur et ce bien qu’elles prennent beaucoup le soleil. Peut-être est-ce donc dû à leurs gênes ? Dieu seul le sait…

Peut-être devrions nous enfin passer à son doux visage pourtant si fermé ? Pardon ? Comment nous pouvons savoir qu’il est doux alors qu’elle ne sait pas l’être ? Il suffit de regarder sa jumelle voyons, ne m’interrompez plus avec vos question, je risque ma vie moi, à faire ça ! Alors son visage, tout aussi blanc que le reste fait ressortir à la perfection le bel éclat émeraude de ses yeux, quel dommage que ce regard soit si neutre, ou même froid, désagréable, noir, il aurait sans doute plus d’éclat avec un sourire, avec un peu de bonheur…Au milieu de ce mélancolique visage un petit nez fin en dessous duquel se trouve une petite bouche légèrement rosée qui ne s’ouvre très rarement. Et au-dessus de ses beaux yeux ? De fins sourcils tout aussi bruns que ses longs cheveux. Des cheveux couleur noisettes contrastant parfaitement avec sa peau blanche, descendant jusqu’au bas de ses hanches. On peut se demander si cette fille connais la douceur tant que l’on ne l’a jamais vu avec sa sœur. En effet, son regard posé sur elle est emplit de toute la douceur qu’elle se force habituellement à cacher, elle pourrait presque ainsi paraitre humaine, aussi humaine que sa sœur.

Pour finir passons au style vestimentaire de la demoiselle. Il faut d’abord noté qu’étant élève d’Ouran, elle devrait théoriquement porter l’uniforme jaune de l’école pour suivre, dont elle ne peut supporter la vue. Elle s’est donc décidée à faire un pacte avec sa sœur « Cet uniforme, jamais nous ne porterons, si à la vie nous tenons ». Ceci mis donc de côté elle porte toutes sortes d’affaire, de toute façon, tout va à ces jumelles ! Elles portent généralement l’exacte même tenue, pour qu’on ne les reconnaisse pas, après tout elles ont leur petit stratagème, et tout serais gâché si elles venaient à ne pas s’habiller de la même façon.










Character


Fujita Miya est une personne très difficile à cerner depuis l’âge de onze ans, parce que c’est à cet âge-là qu’elle a commencé à changer. Cela ne veut bien évidemment pas dire que c’était une jeune fille simple lorsqu’elle était enfant. Elle est née et a grandi connaissant l’amour, celui de ses parents, mais aussi celui de sa sœur jumelle. Elle a grandi également en donnant son amour à sa sœur et à ses parents. Enfant, comme tous les enfants, elle aimait jouer, elle rêvait, tout comme sa sœur, de belles robes, qui leurs permettraient de se prendre pour des princesses, du prince charmant qui plus tard –parce qu’elles étaient encore un peu jeunes pour le mariage- viendrais leurs faire la cour, elles rêvaient d’une vie toujours aussi rose. En effet, bien qu’assez pauvres, elles étaient heureuses, et c’était le principal. C’est pourquoi elle a grandi avec le sourire, la joie de vivre. Ses yeux ne versaient jamais de larmes, ses lèvres étaient rarement en train de faire autre chose que sourire, elle riait sans arrêt, bien que cependant il ne fallait pas que l’on s’en prenne à sa sœur, c’était la seule chose qui aurait pu la mettre dans une colère noir, sa sœur, sa jumelle, c’était tout pour elle.

Puis elles ont eu onze ans. On ne change pas du jour au lendemain, à onze ans, dites-vous ? En effet, à onze ans, on ne change pas du jour au lendemain, sauf si quelque chose change litéralement votre existence. Quelque chose comme être témoin d’un meurtre, du meurtre de son propre père. Les choses ne seront pas expliquées plus en détails ici, mais le seront dans le dossier des informations globales. Depuis ce jour, la demoiselle à changer du tout au tout. Son visage ne laisse plus paraitre aucunes emmottions, elle ne sourit plus, elle ne rit plus, elle ne parle plus, ou presque plus, sauf bien sûr à sa jumelle, elle semble s’être enfermée dans une bulle que même sa jumelle semble avoir du mal à pénétrer. Elle souffre mais le montre le moins possible, parce qu’après tout, elle ne devait pas être celle qui a souffert le plus, elle avait beau avoir assisté à la scène, elle se disait que ce qu’elle vivait n’était rien comparé à ce que sa mère vivait, elle qui avait perdu l’homme de sa vie. Aussi, elle est devenue très protectrice envers sa sœur, et se dit que tant qu’elle va bien, il lui est bien égal de souffrir encore d’avantage, ce qui s’est bien appliqué récemment [voir histoire].

Depuis le meurtre elle est effrayée par la simple idée de dormir, et a développé une phobie de l’obscurité et du sang. Cela s’explique très simplement, depuis ce tragique évènement elle fait des cauchemars, mais pas n’importe quel style de cauchemars, elle y voit des cadavres, du sang, des gens mourir, et entends une voix, lui disant que c’était de sa faute, que tout ça ne serait jamais arrivé sans elle. Comment une jeune fille de onze ans peut-être resté elle-même après cela ? Bien sûr qu’elle savait que ce n’était pas de sa faute, que ces gens n’existaient pas, qu’ils ne mourraient pas, mais cette vue, tout ce sang…rien que les visions de ces nuits étaient insupportables. Hors de question pour elle d’aller voir un psy, ou même que qui que ce soit au courant, sauf bien sur cette personne en qui elle a une parfaite confiance, et à qui elle a fait promettre de rien dire. Avec sa jumelle, le secret était bien gardé après tout, et elle avait quelqu’un pour en parler lorsqu’elle craquait. Cette même jumelle qui était là pour elle, elle serait là pour la protéger également. Oh bien sur elle n’irait jamais jusqu’à user de la violence, mais elle a d’autres cartes en mains après tout, beaucoup de cartes d’ailleurs…

C’était de toutes façons la seule personne avec qui elle pouvait parler, n’adressant à peine que quelques mots aux autres, on peut la penser froide, timide, elle s’en fiche, la vérité c’est qu’elle souffre trop pour parler comme si de rien n’était. Elle s’est repliée sur les études, devenue excellente élève, et sur un passetemps qui s’est trouver être très instructif : l’informatique. Au début c’était un passetemps comme un autre, jusqu’à ce qu’elle s’initie aux joies de la programmation, et, entre autre, du piratage. Elle est très douée et aime beaucoup pianoter sur le clavier de son ordinateur portable.

Si nous passons à présent rapidement à ses gouts, hormis le piratage, elle adore écouter de la musique, et écoute de tous, si l’on considère, comme elle, que le rap n’est pas de la musique. Elle n’aime pas la foule, et ne supporte pas le bruit. Elle aime également à se perdre des heures et des heures dans un bon livre, et ne supporte pas être dérangée quand elle lit. Ah et bien sur, elle aime sa jumelle plus que tout !







Story


Vous ne croyez pas au coup de foudre, pas vrai ? Au final ce n’est rien de plus qu’une certaine attirance pour une personne, qui finalement se transformera en amour au fur et à mesure que l’on commencera à connaitre la personne qui nous a plu. Pourquoi vous dis-je cela ? Parce que beaucoup ont cru que cette jeune étudiante et ce médecin s’étaient aimés dès le premier regard, alors que ce n’est qu’un tissu de mensonges inspirés par l’aspiration à un monde parfait. Lors d’une consultation, la semblait avoir attiré le médecin de par son charme naturel, et inversement. Une attirance réciproque, qui se termina par une invitation de la part de l’homme. Quelle raison sa patiente avait-elle de refuser ? C’était idiot, mais c’est pourtant ce qu’elle fit les quatre premières fois, avant d’accepter au bout de la cinquième. La suite n’intéressera personne, passons donc directement à la naissance de nos deux jumelles, au 15 juin. Aucuns problèmes ne furent rencontrés à l’accouchement, et ce fut donc avec quelques heures d’écart que nos jumelles virent le jour, Miya en première, étant ainsi l’ainée des jumelles, suivit de sa cadette, Miyu. Miyu et Miya Fujita. Deux bébés identiques, tant qu’on aurait pu croire à de vrais clones. Leurs propres parents n’arrivaient pas à les différencier, et cela s’accentuaient de plus en plus alors que le temps les faisait grandir comme des petites graines qui au final devenaient de magnifiques fleurs. Magnifique était d’ailleurs le mot parfait pour elles, plus elles grandissaient, plus leur beauté s’accentuait également. Elles avaient, on pouvait le dire, une très belle vie, malgré le manque d’argent et le fait que leur père ne soit jamais là, on ne pouvait pas dire qu’elles manquaient de grand-chose, elles n’étaient d’ailleurs, pour des enfants, pas très exigeantes, elles ne demandaient pas ceci ou cela sans arrêt, vraiment de petites filles modèles. Et la vie avait cette étrange banalité tranquille dont on se contentait tant qu’elle restait ce qu’elle était et là était bien le problème : elle n’allait pas le rester bien longtemps. Laissons donc à la jumelle concernée le privilège de vous raconter son récit.

Onze ans, un âge bien dérisoire n’est-ce pas? Que peut-il se passer d’une grande importance à ce moment-là? Une perte de revenu? Un amour perdu? Un patron infernal? Absolument pas, il faudrait encore des années pour espérer avoir l’une de ces raisons ou plutôt, l’une de ces causes face à un comportement donné, un changement d’attitude, un tournant décisif … Que peut-il donc se passer de si grave dans la vie de fillettes de onze ans? Ce fameux jour où tout se bouscula, commença d’une façon ordinaire, comme toutes les autres journées de la saison … Aujourd’hui, nous sommes le 15 juin, mercredi 15 juin pour être plus précise. Ce matin, nos parents nous ont promis qu’ils seraient cet après-midi à la maison, ce n’était plus arrivé depuis un moment maintenant … Papa est médecin dans une clinique et travail tous les jours pour rapporter de quoi nous nourrir alors que maman à décider l’année dernière de travailler elle aussi. Jusque-là, notre mère était femme au foyer, alors qu’elle était étudiante elle a tout arrêté pour s’occuper de nous une fois que nous sommes nées ma sœur et moi et à présent, elle travaille comme serveuse dans un fast-food à une heure de route de la maison. Depuis lors, j’ai passé mes après-midi seule avec ma sœur mais naturellement, nous savions qu’ils ne nous abandonnaient pas et qu’ils nous aimaient plus que tout. Et c’est ainsi, que pour la première fois depuis plus d’un an, ils nous ont promis un après-midi ensemble, en famille. C’est donc de bonne humeur que nous nous rendîmes à l’école main dans la main en songeant à la belle journée qui nous attendait. Nous ne pensions pas à ce que représentait réellement ce jour jusqu’à ce que nous trouvions en rentrant, la maison vide avec un gâteau au chocolat préparé sur la table, nos deux noms y étant inscrits « Miyu et Miya ». Mais où sont donc passés papa et maman? C’est vrai, maman est censée arrivé bientôt sinon elle serait venue nous rechercher à l’école mais alors, où est papa? Je suis sûre qu’il se cache pour nous faire une surprise !

« Papa, papa t’es là? » demandait ma sœur en s’adressant presque aux murs de la maison.

C’est alors que nous entrâmes plus profondément dans la maison, fouillant chacune des pièces avant de nous décider à vérifier le jardin et c’est là, à travers cette porte, à travers ce moustiquaire la couvrant de toute la longueur de la fenêtre, que nous le trouvâmes enfin. Il était là, mais il n’était pas seul … Des hommes en noir étaient là eux-aussi. Pour une étrange raison, nous ne dîmes pas un mot, nous serrant juste la main très fort comme si nous sentions ce qui allait se passer. Nous n’aurions jamais dû regarder ce qui allait se passer sous nos yeux, le meurtre de notre père … Sans scrupule, les hommes lui tirèrent dessus, dans les jambes, les bras, la tête et enfin le cœur. Il s’écroula sous nos yeux, les cris qu’ils avaient poussés résonnant encore dans notre tête alors que nos larmes se mirent à couler sans émettre un son. Tout ce que l’on put entendre n’était pas le bruit de nos cœurs se déchirer mais les paroles de ces hommes comme quoi il n’aurait pas dû défier les Ootori. Nous restâmes comme cela, un moment, sans expression, à regarder le corps dans le jardin jusqu’à ce que maman rentre du travail et ne se mette à hurler. Il ne restait plus que nous trois maintenant, seules au monde. Notre monde de conte de fées où l’on pouvait croire qu’un jour nous serions riches, que nous serions heureuses encore et toujours comme c’était le cas dans notre joie de vivre actuelle ne fût plus. Nous n’étions que de simples prolétaires où les rêves n’avaient dorénavant plus leur place. Nous ne pourrions jamais oublier … le jour de notre onzième anniversaire.

Après cela, naturellement, la vie a continué à s’écouler mais de quelle façon … Les autres pensent que notre comportement à changer du jour au lendemain du fait que nous ne leur avons rien dit et ils avaient raison. Ma sœur et moi qui étions toujours ensemble joyeuses et pleines de vie, sommes devenues aux yeux de tous, des entités différentes et opposées. Alors qu'elle est restée souriante et serviable, peut-être plus qu'elle ne l’était déjà, j'ai opté pour le comportement opposé en me renfermant sur moi-même, n’accordant qu’une vague attention aux autres, surprotégeant ma petite sœur. Pourtant, la relation que nous avions toutes les deux, elle, a à peine changé, nous sommes restées comme meilleures amies et confidentes même si ce n’était pas facile. Nous seules voyons ce que les autres ne voient, nous seules savons comment nous sommes réellement, une apparence est tellement facile à manipuler … personne ne peut savoir ce qu’il se passe réellement en nous, seules nous sommes conscientes de ce que ressent l’autre comme deux parties d’un tout. Et alors que maman continua d’être serveuse, elle nous poussa d’avantage pour l’école, nous disant que nous ne devions pas faire la même erreur qu’elle, que sinon, nous le regretterions. Une nouvelle vie sans vraiment de saveur avec une autre vision des choses, voilà comment nous vivions à présent notre quotidien. Puis, comme on devait s’y attendre, maman se mit à fréquenter quelqu’un, un bel homme qui ne semblait pas lui vouloir de mal et comme nous ne souhaitions que son bonheur après cette épreuve, nous avons acceptés qu’elle continue dans ce sens avec lui. C’est ainsi, âgées à présent de quinze ans, que nous avons emménagées chez lui. Une grande maison luxurieuse digne des princesses que l’on aimait à s’imaginer petites, de l’argent … une nouvelle vie. Ce n’est qu’à ce moment que nous nous intéressâmes au nom de cet homme, nous savions déjà que son prénom était Yuji et qu'il était dans le milieu financier mais ce n’est qu’à partir de ce jour que nous sûmes qu’il était un Ootori … Ootori comme ces gens le jour de notre anniversaire … c’était quoi cette mauvaise blague pourquoi lui?!

Nous n’en avons jamais parlé à notre mère cela dit. Elle semblait heureuse avec lui et là était ce qui comptait le plus pour nous. Notre mère avait eu tant de mal à se remettre de la mort de son mari…Encore plus que nous. Alors nous n’avons rien dit, priorisant son bonheur nous avons accepté cet homme. Ce qui ne nous empêcha pas, loin des oreilles de notre mère, de lui demander des explications, la raison de la mort de notre père…Qu’avait-il fait pour mériter ça? Apparemment, il trempait depuis quelques années dans le trafic de médicaments, aidant ainsi les personnes le plus démunies et cela n’avait pas plût aux Ootori qui sont spécialisés dans la médecine … un bien triste adversaire qui avait alors utilisé la manière forte après des avertissements … Nous n’appréciions pas du tout mais avons, pour maman, tentés de fermer les yeux sur le sujet et mis Yuji hors de cause bien que ce dernier avait sans doute bien compris que jamais il n’aurait une quelconque place dans notre cœur. Pas même une petite. Lorsque nous eurent seize ans, notre mère se maria à nouveau ne offrant un nouveau nom « Miya et Miyu Fujita-Ootori » et là, on nous obligea à choisir une nouvelle école… plus question de rester dans le milieu des prolétaires, tout devait vraiment changer. Lobelia ou Ouran, tels étaient les deux choix proposés. Hors de question d’aller à Lobelia, le simple fait de passer devant nous avait fixés c’est alors que notre choix se tourna pour Ouran et son uniforme horrible.

Cela dit les choses ne se sont pas arrêtés là ou du moins pour moi. J’ai eu la chance d’entendre une conversation entre mon très cher beau-père et ma tendre mère. En quoi était-ce une chance alors que cela scella mon destin à jamais ? Parce que si je n’avais jamais entendu cette conversation ma sœur aurait été condamnée à une vie dont elle n’aurait pas voulu. Je n’aurais pas été capable de la protéger comme il se doit…Et je m’en serais voulu toute ma vie. Mais passons. Il était tard, très tard, et ma sœur s’était déjà endormie. Coup de chance ou non, je n’avais pas réussis à m’endormir ce soir-là et en désespoir de cause j’étais descendue me chercher un verre de lait. C’est ainsi que je me suis retrouvée à marcher en pyjama dans le long couloir sombre de la résidence Ootori, dont que je n’arrivais pas à me faire quelle était à présent aussi la nôtre. De la porte du salon émanait le peu de lumière qui peut passer au travers d’une porte à peine ouverte. Curieuse de nature, je m’en suis approchée alors que la voix de mon horrible beau-père me parvenait de mieux en mieux et de plus en plus clairement. Cela dit ce n’est qu’une fois entièrement devant la porte, un regard plongé dans la pièce que je compris véritablement ses mots. Mots qui s’adressaient à ma mère et seulement à elle, du moins de là où j’étais je ne les voyais que tous les deux.

« …C’est une alliance que nous avons toujours désirée mais qui s’avérais être impossible puisque tous les héritiers jusque-là étaient des hommes. »
« Mais il s’agit quand même de ma fille ! Et un mariage arrangé… »
« Ne penses-tu pas qu’elle ne peut qu’être heureuse ainsi ? Grâce à ces fiançailles, Miyu unira deux des familles les plus puissantes du Japon ! Elle ne manquera de rien ! »

Une alliance toujours désirée par les Ootori ? Un mariage arrangé ? Miyu ?! Il comptait vraiment marier Miyu à je ne savais encore trop qui, cet enfoiré ? Hors de question de laisser faire une chose pareille ! Je n’aimais pas qu’on sache lorsque que j’écoutais aux portes, on ne l’avait d’ailleurs jamais su par le passé bien que je le faisais bien souvent. Mais cette fois s’en était trop, je ne pouvais pas me contenter de regarder, en simple spectatrice alors qu’on était littéralement en train de vendre ma sœur. Je ne me suis pas faite priée. J’ai ouvert la porte dans son intégralité et je suis entrée, ponctuant bien ma présence par une prise de parole et un regard des plus sombres pour mon beau père.

« Marier Miyu à un inconnu ? Vous avez perdus la tête tous les deux ?! »
« Allons Miya…Ne penses-tu pas que cette alliance avec les Hitachiin serait merveilleuse ? »

Et à ce moment j’ai perdu tout espoir de les faire changer d’avis. Non, toute envie. Quand j’ai vu cette lueur d’espoir, ce désir dans les yeux de ma mère. Elle voulait que cette alliance ait lieux, même si le fait de marier sa fille ne semblait pas lui plaire outre mesure. Ma mère n’avait jamais les Ootori comme nous les avions hais. Elle n’avait jamais été mise au courant –et ma sœur et moi étions d’accord pour qu’elle ne le soit jamais- qu’ils avaient assassinés notre père. Elle aimait son mari, son nouveau statut, sa nouvelle famille. Et comme ma sœur, j’aimais plus que tout ma mère. J’avais accepté de vivre avec celui qui avait tué mon père pour elle. Miyu aussi. Toutes les deux nous aimions profondément notre mère et nous ne voulions que son bonheur. Parce que les années où elle avait dû s’occuper de nous avaient étés tellement dures pour elle, à présent nous ne voulions que tout faire pour son bonheur. Tout, absolument tout.

Même accepter un mariage forcé.

Miyu en serait capable, tout comme moi je l’aurais été s’il en avait été décidé ainsi. Cela n’avait pas été le cas. Mais j’avais eu la chance de pouvoir changer ça. De pouvoir changer le destin de ma sœur. Hors de question que je laisse ma petite sœur vivre ça. Comme nous l’avions fait toutes les deux pour notre mère auparavant, j’allais littéralement me sacrifier pour elle.

« Miyu est ma petite sœur…Ne pensez-vous pas que…Je ferais tout aussi bien l’affaire ? »

J’enrageais. Oh oui, j’enrageais de devoir m’en remettre à la décision de cet Ootori. Mais je n’avais pas d’autre choix. Canines serrées, poings serrés, j’eu l’impression qu’entre l’instant ou j’avais pris la parole et celle où il accepta enfin dura une éternité. Mais qu’importe, il avait accepté. Et donc, victorieuse je retournais me coucher, auprès de ma sœur. J’étais bien consciente qu’à présent je serais séparée d’elle sous peu, je n’aurais pas pensé que les choses se feraient bien plus soudainement que prévu…Ainsi je me suis endormie en prenant une de ses mains dans les miennes. Encore une fois, je démarrais une nouvelle nous. Nous démarions une nouvelle vie.








Me


○ Surnom/Pseudo : Miya.
○ Âge : 18 ans.
○ Fréquence de connexion : Il varie, hélas.
○ Un quelconque problème ? : Hikaru.
○ Un dernier mot Jean-Pierre ? =D : Ma sœur devrais nous rejoindre sous peu pour ceux qui se poseraient la question. ♥
○ Le règlement ? [Val-idé]



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CRÉDIT - FICHE


Dernière édition par Miya Fujita le Mar 12 Juil - 0:01, édité 3 fois
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Mitsuki Naotaka
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MessageSujet: Re: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptyDim 19 Juin - 0:49

Bienvenue à toi, Miya-sempai!
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Miya Fujita

Miya Fujita


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MessageSujet: Re: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptyMar 12 Juil - 0:02

Merci Mitsuki-san *s'incline*

Je vous annonce que ma fiche est terminée. ♥
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Val Inagawa
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MessageSujet: Re: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptyDim 17 Juil - 8:14

Bienvenue.
Bon, pas de problèmes sur le caractère et la description, l'histoire va bien aussi en temps normal, un petit souci cependant à notifier du côté de la classe et du groupe : vu l'histoire, ta soeur et toi êtes bien loin d'être prolétaires. A la limite, vous pouvez être nouvelles riches, auquel cas au lieu de la classe A c'est la classe D qui s'ouvre à vous, mais les prolétaires il n'y en a qu'un par année et c'est un élève qui n'a pas les moyens (je crois que Oototi-san a largement les moyens tout de même) et qui brille par ses notes. Sachant cependant que vous êtes en première, les chances d'y voir un prolétaire sont réduites à zéro puisque Haruhi est celle qui a été choisie cette même année, et personne d'autre.
Du coup, en groupe, je te propose plutôt « Gamers » pour tes capacités informatiques ou « Normaux ».

Pour tes compétences, même idée que pour Hikaru et Kaoru :
Passif : Peut se faire passer à tous moments pour sa jumelle.
Actif : Peut intervenir dans n'impote quel RP du moment que sa jumelle s'y trouve.
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Miya Fujita

Miya Fujita


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MessageSujet: Re: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptyDim 17 Juil - 12:45

C'était une question d'état d'esprit à dire vrai, mais je comprends tout à fait. Ce qui me gêne dans "Gamers" c'est que le nom fait vraiment...Comment dire ? Fanatiques de jeux vidéos, or ce n'est absolument pas mon cas, je pencherais donc pour normaux. =)

Les compétences me vont parfaitement bien cela va de soi, merci beaucoup Val-san.
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MessageSujet: Re: Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C]   Miya Fujita Ootori, pour vous servir. [U.C] EmptyDim 17 Juil - 14:36

C'est noté, je t'ajoute tout de suite dans ton groupe.
Sur ce bon jeu~
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