Cause I missed you /Tama-kun & Ishikawa/

Mitsuki versait des larmes lorsqu'elle sentit quelque chose sur son menton. Elle vit une main qui releva sa tête, puis un sourire. Le sourire de son ami si chaleureux et réconfortant. Elle entrouvrit sa bouche pour y laissé sa pilule y entrer. Sans rien, elle l'avala. La jeune demoiselle était rendue habitué de d'avaler sa pilule sans rien. Ses bras tremblaient et les larmes cessaient petit à petit de coulé.

C'est alors, quand elle ne s'y attendait pas, qu'elle sentit des bras se glisser sous son corps et la soulever. Elle se rendit compte que c'était Tamaki qui venait de la prendre, tel un prince portant sa princesse. Ils se dirigèrent vers la porte de la troisième salle de musique pour sortir quand son ami parla.

« Je te conduis à l’infirmerie. »

Jamais, non jamais, Mitsuki l'avait entendu parler sur un ton aussi sec. Il était devenu si sérieux tout d'un coup. Alors, elle posa sa tête dans le creux de son épaule, toussant de temps à autre. Lorsqu'ils furent hors de la salle de musique et qu'ils marchèrent dans les corridors pour aller dans l'infirmerie, Mitsuki eut l'impression qu'on les observait. Effectivement, certaines jeunes filles, ou même toutes, les regardèrent passer. Plusieurs étaient verte de jalousie, d'autres ne voulaient même pas les regarder. Il y avait même des garçons qui les regardaient. Peut-être étaient-ils jaloux et qu'ils auraient voulus être à la place de Tamaki? Ce sentait légèrement mal à laise, elle leva les yeux vers le plafond, mais son regard s'arrêta sur le visage de Tamaki. Quelque chose en lui avec changé, mais quoi? Elle se posait la question durant tout le trajet.

Quand ils arrivèrent devant l'infirmerie, Mitsuki commençait à aller mieux: son médicament commence à faire effet. Elle regarda Tamaki et décida qu'elle pouvait marcher toute seule maintenant.

« Tama-kun...je vais mieux maintenant, je peux marcher seule. »

La tête de la jeune demoiselle posée dans le creux de l’épaule du blond, ce dernier accélérait ses pas à chaque fois que la jeune fille se remettait à tousser. En cet instant il se fichait pas mal du regard des autres élèves, féminins ou masculins, qui pouvaient les regarder avec envie, jalousie. Tout ce qui comptait c’était la santé de la demoiselle. Toutes ces demoiselles, aussi oisives soient-elle, devaient bien être capable de comprendre cela, non ? Les regards jaloux qu’elles portent sur la demoiselle laissèrent penser au prince que non, elles ne comprenaient pas. Elles ne comprendraient jamais. Tant pis pour elles. Ce n’était cela dit pas mieux pour les hommes qui regardaient le prince lui-même avec jalousie. Ils étaient jaloux ? Mais ne pouvait-il donc pas poser un regard inquiet sur la jeune fille qu’ils convoitaient tant dans ce cas ?! Ce genre d’attitude avait le don de le mettre hors de lui !

Bien heureusement l’infirmerie ne se trouvait pas bien loin de la troisième salle de musique. Tamaki connaissait le chemin par cœur à présent. Après tout il avait fait ce trajet un nombre incalculable de fois en trainant sa précieuse fille pour des blessures de rien du tout. A tel point que l’assistante de l'infirmier -qui était la seule personne qu'il ai pu y voir jusqu'à lors- avait fini par lui passer un savon à chacune de ses visites, braillant qu'il lui faisait franchement plus perdre son temps qu’autre chose. D’ailleurs dès lors qu’il y réfléchissait, il avait entendu qu'elle avait posé sa démission et qu'à présent l'infirmier s'occupait seul de tous les patients, mais jamais encore le King ne l’avait rencontré…eh bien c’était un bon moyen de voir s’il était digne de s’occuper de sa fille chérie ! Dans le cas contraire…Il n’avait plus qu’à lui-même apprendre la médecine ! Cela ne devait pas être si compliqué que ça après tout, si ? Toujours était-il que cela lui donnait une bonne idée pour la prochaine activité du club !

« Tama-kun...je vais mieux maintenant, je peux marcher seule. »

Les paroles de la douce rappelèrent le King à la réalité et en posant un regard inquiet sur elle il se décida finalement à la reposer à terre, tout en gardant un œil sur elle, au cas où ! Lui offrant un sourire qui se voulait rassurant il ouvrit finalement la porte de l’infirmerie. L’infirmier n’était pas en vue, mais Tamaki se doutait bien qu’il devait être à son bureau, derrière le dernier rideau de lit. Il haussa simplement les épaules et retourna la tête vers Mitsuki.

« Assied toi sur un lit. Je vais voir s’il est là. »

Un nouveau sourire et il s’avança dans la grande infirmerie du lycée. Après tout, Ouran faisais toujours les choses en grand ! Arrivant au bout de la rangée de lits, il se pencha, passant simplement sa tête et le haut de son buste de l’autre côté du rideau, où se trouvait effectivement un homme en blouse blanche, installé que son fauteuil, de dos.

« Docteur ? Vous avez une patiente. »

Nouveau sourire, à l’intention du médecin cette fois cela dit. Si Tamaki aurait été au courant des préférences du médecin, aurait-il réagit différemment ? Nul ne le sait.

La journée n'avait pas était plutôt agité aujourd'hui, il fallait croire que les jours chaud avaient apporté avec eux une vague de malade, enfin plutôt plusieurs vagues. Depuis le petit matin ça n'avait pas arrêté, l'école avait même appeler en pleine nuit chez lui pour qu'il s'occupe de malade séjournant au pensionna. Conclusion on pouvait dire que notre chère infirmier était encore plus désagréable avec les personnes qui n'étaient pas au bord de l'agonie et qu'il avait croisé depuis son réveille brutale. La machine à café n'avait elle aussi pas cessait de travaillé depuis son arrivé dans l’établissement, jusqu’à ce que celle ci tombe en panne au moment le plus critique.Le bel infirmier n'en pouvait plus. Il était, on pouvait dire, d'une humeur exécrable aujourd'hui entre tous ses problèmes. Les quelques élèves étant venu simuler une maladie quelconque, pour échappé à un examen probable, finirent par fuir le lieu après quelques phrases, tiré tous droit du registre yakusa de l'homme à veste blanche, et quelque regard noir lourd de sens.

Daizennosuke n'était pas du genre agressif, sauf quand il n'était pas alimenté par son doux breuvage ou que ses patients n'était pas de beau jeune homme, et à l'heure actuel il n'avait ni l'un ni l'autre. Sur les nerf il remis sur pied les véritable malade et renvoya les malades plus atteint chez eux, après avoir appeler les parent et la direction pour les autorisé à quitter l’établissement. Finalement la longue file d'attente de malade diminua en fin de mâtiné et le calme revient dans la grande salle. Le vide et le silence, quel joie pour notre chère infirmier qui soupira d’aise en se laissant glisser dans son siège en cuir, après bien entendu être allez chercher une pleine cafetière de café à la cantine de l’établissement. Il sortie d'un de ses tiroir un livre d'un grands écrivain français du nom de Albert Camus, livre qui en aurait fait dormir plus d'un dans cet établissement, et se mis à lire calmement celui ci tout en buvant une tasse de café bien remplis. Il n’eut pas le temps de lire très longtemps celui ci, enfin c'est l'impression qu'il eu, qu'un nouveau patient viens quémander son aide.

- Docteur ? Vous avez une patiente.

L'infirmier tourna en direction de la voix sans daigner se lever pour au tant, jaugeant du regard le nouveau venue. Une patiente ? Pourtant c'était bien un magnifique jeune homme au cheveux blond qui se trouvé face à lui, avec un sourire des plus séduisant. Daizennosuke se leva sa tasse toujours à la main, en faisant bien attention de ne pas perdre sa page en déposant sont livre ouvert sur la table. Au moins cette patiente qu'elle quel soit avait sue apporté dans cette immense infirmerie un jeune homme très intéressent.

-Allons donc voir cette demoiselle de plus prés, dit sensuellement Daizennosuke tout en passant accoté de Suo faisant en sorte de frôler le jeune homme sur son passage, sans la moindre gène.

Daizennosuke se dirigea en premier dans l'allée de lit en direction de celui ou la jeune fille se trouvé. Il est vrai qu'il pouvait paraitre assez froid de en temps et menaçant quand une personne simulé, sauf si c'était un beau jeune homme ♥, mais la demoiselle assise sur le matelas blanc de l'infirmerie ne semblait pas faire partie des simulateur à première vue. Malgré qu'il soit connue comme une personne pas forcément agréable, il faisait tout de même partie des personne les plus compétente de sa génération en médecine, ce n'était pas pour rien qu'il avait décrocher son diplôme de médecin avec mention.

-Alors que me vos votre visite dans mon infirmerie mademoiselle ? demanda l'infirmier à la demoiselle de façon très professionnelle.

Après avoir demander à Tamaki de le déposer au sol, tout deux entrèrent dans l'infirmerie. Mitsuki avait un peu de difficulté à marcher à cause de ses tremblements, mais se forçait tout de même. Tamaki lui avait sourit lorsqu'il l'avait posée au sol. Cependant, elle savait que son ami d'enfance s'inquiétait pour elle, elle n'était pas dupe.

« Assied toi sur un lit. Je vais voir s’il est là. »

Alors, tranquillement, Mitsuki alla s'assoir sur un des lits le plus proche. La tête baissée, elle toussait de temps en temps. Son médicament commençait à faire effet, mais lentement. Elle entendit Tamaki parler et un autre homme. Alors, l'infirmier était un homme. La jeune fille commençait à être habituée puisque dans son enfance, elle n'avait que des hommes.

Elle entendit des bruits de pas venir vers elle. Ce devait être l'infirmier et Tamaki. Mitsuki leva les yeux et vit Tamaki et un homme s'approcher d'elle. En voyant Tamaki, elle lui sourit pour essayer de le réconforter pour le convaincre qu'elle allait mieux. C'est alors que l'homme en blouse blanche regarda Mitsuki.

-Alors que me vos votre visite dans mon infirmerie mademoiselle ? demanda l'infirmier à la demoiselle de façon très professionnelle.

Lorsqu'elle voulu répondre, elle se mit à tousser. Elle posa une main sur sa gorge et l'autre pour tousser dans son coude. Quand elle eut finit de tousser, elle regarda l'infirmier. D'après elle, elle venait de répondre à la question de l'infirmier. Mitsuki regarda son coude. Du sang coulait sur son bras à cause de sa toux. Elle réussit à dire.

-C'est ma maladie...qui revient.

Elle détourna le regard. La jeune fille ne voulait pas voir le visage inquiet de son ami. Elle déposa son bras sur sa robe pour ne pas tâcher le plancher ni les draps du lit. Elle baissa la tête et regarda ses pieds. Attendant une réponse.

Comme a mon habitude personne ne me remarque, je suis assis contre des oreillers avec un cuve
entre les jambes, je suis encore ici. L'infirmier est occuper avec plusieurs patients, je me dit que sa lui fait une raison de m'oublier pas que se sois dans son habitude mais moi même je ne me fait pas remarquer et sa avec tout le monde.

Je devrai avoir un abonnement a vie, a chaque fois que je fais dut sport, j’atterri ici en sueur et blanc comme un linge. L’infirmier l’année passer a bien envoyer une lettre a mes parents mais sa n'a pas abouti a quelque chose de différent. Ca na rien changer mais mon père ne veux rien entendre, donc je fait de mon mieux sans trop etre malade. Et vu que l'infirmier n’a pas changer je suis au même point. Une fois sur deux je vais m’écraser dans une salle vide, il me regarde bizarrement mais il voit bien que je suis au bord du coma au du moins de l’évanouissement. Il me laisse me reposer dans un coin.

Je vois une fille soutenu par Suo ! La fille est assise perpendiculairement a moi donc moi je peux la voir mais pas elle. Suo va chercher l’infirmier.

-C'est ma maladie...qui revient.

On ne lavais pas remarquer, si tu est ici c’est sois que tu est malade sois tu veux évité un examen.

Est ce que je la connais? Bonne question, je ne pense pas mais je connais Suo. Enfin de vu quand je suis entré a la dérober dans le club d’hôte. Est-ce que je me fais voir… je vais un peux mieux mais je veux savoir se qui va se passer. Il me manque juste du mais souffler et je pourrais regarder mon film.

Je me demande si l’infirmer va draguer Suo sa serais sexy mais il est un peux vieux et personnellement pas très sexy, Suo peux encore passez pour son corps mais pas sa personnalité. De toute façon personne ne me remarquera pour le moment. Je souri et je suis se qui se passe, j’interviendrais plus tard.

Spoiler:

C’est sans quitter son fauteuil que l’infirmier posa son regard sur Tamaki. Le Sire ne put d’ailleurs s’empêcher de penser qu’un peu plus jeune, il aurait été parfait en tant que membre du host club. Quoi que..Peut-être actuellement aussi ? N’y avait-il pas de ces demoiselles qui avaient un faible pour les hommes plus âgés ? …Non. C’était stupide. Même si c’était le cas il était hors de question d’encourager ce genre de relations impures qui pourraient pervertir non seulement les clientes, mais en plus sa fille chérie ! Hors de question de la laisser voir une telle chose ! Jamais de toute sa vie elle ne verrait ce genre de relation ! D’ailleurs ! Il allait l’envoyé dans un couvent sur le champ ! …Mais non ! S’il faisait une telle chose il n’était plus question de la voir au club chaque journée après les cours ! Cruel dilemme qui se posait à lui mais auquel il ne pouvait mettre toute sa pensée de façon purement sérieuse !

Non, ce n’était pas parce qu’il n’en était pas capable ! Quoi que cette théorie fût intéressante…Cela dit ce qui l’empêchait là de se concentrer sur ces idées saugrenues cette fois-là, c’était cet infirmier quittant sa chaise, en posant avec attention son livre sur son bureau. Et bien sûr, il garda sa tasse en main ! Tamaki alors très intrigué se surpris à se demander si c’était là un objet important dans sa profession…Comme Honey était important pour Mori en tant que lovely item. Mais encore une fois sa réflexion n’alla pas bien loin, d’une part parce que le médecin pris la parole, et d’autre part parce qu’en faisant cela, il frôla le Sire.

« Allons donc voir cette demoiselle de plus près »

Mis à part le ton sensuel qu’il avait pris et ce petit contact qui fila un frisson a Tamaki, il semblait prendre son travail au sérieux. De plus, jamais au grand jamais le blond n’avait entendu quelconque critique sur l’infirmier, il devait donc être doué. Du moins il l’espérait. Tournant donc les talons, Tamaki suivit silencieusement le médecin jusqu’à retrouver la demoiselle qu’il avait accompagnée jusqu’ici. Appuyant une épaule contre un mur, il observa simplement la suite.

« Alors que me vos votre visite dans mon infirmerie mademoiselle ? »

Le ton professionnel qu’il avait employé surpris presque le Prince. Tellement différent de la façon dont il lui avait parlé plus tôt…peut-être avait-il halluciné ? En y réfléchissant bien ce ne serait pas si étonnant que ça, avec tout ce temps qu’il passait dans les placards à cultiver des champignons douteux ! Mais on ne referait pas le Prince après tout…

« C’est ma maladie…qui revient. »

Tamaki soupira. De façon audible. Oui, très franchement, sur ce coup là, elle l’exaspérait. Comment l’infirmier était-il censé deviner de quel maladie il s’agissait ? Elle pouvait au moins lui dire où elle souffrait, ou ce que c’était passé plus tôt, mais non. Rien. Juste cette petite phrase qui n’aidait personne. Oh bien sûr, ce n’était pas à Tamaki de raconter tout cela au médecin –peut-être ne voulait-elle simplement pas que ça se sache ?- mais jamais au grand jamais elle ne pourrait être soignée de façon correcte s’il n’était au courant de rien.

« Mii-chan, tu ne l’aide pas, là… » Il tourna alors son regard vers l’infirmier. « Moi-même je ne sais pas ce que c’est, mais tout à l’heure elle s’est subitement mise à tousser, d’abord normalement, puis en crachant du sang…Je sais que ça ne vous aide pas beaucoup plus mais… »

Gêné, il passa une main dans sa chevelure blonde. Mais au moins il avait une petite idée de ce qui était arrivé à la miss ici présente. Tamaki de lui-même ne pouvait à présent plus rien faire de plus. C’était à elle d’accepter de lui parler si elle voulait être soignée convenablement.