Pourquoi mes patients son majoritairement des filles ? [pv Eva]

Des bruit de pas se firent entendre dans les couloirs vides de l’établissement. Daizennosuke était toujours très matinal, comme il n'avait qu'a s'occuper de lui même ce n'était pas bien difficile d'arrivé tôt tous les jours à son travaille. Il avait pris l’habitude d'arriver en avance, préfèrent de loin le calme des couloir, au brouhaha des élèves, pour bien commencer la journée. Il tourna ses clef personnel de l'infirmerie et entra dans la grande pièce, déclarant par se faite l'ouverture de celle ci pour les malades, ou comédien. La salle était immense, beaucoup trop grande au goût de celui ci qui avait quand même réussi à faire installer une pièce plus petite dans se bâtiment pour son propre confort, son bureau. Il poussa la petite porte qui séparer son lieu de vie du lieu ou était placer les malades. Comme d’habitude, il accrocha sa veste et enfila à la place sa belle blouse blanche de médecin. Puis une fois cela fait il pressa le petit bouton qui allez créé se doux breuvage noir qui lui permettrait de tenir toute la journée, pour son plus grand plaisir.

La journée fut plutôt calme, pas de cas grave et l'infirmerie ne fut prise d'assaut que par sa folle de nièce qui fut gentiment reconduit à la porte, à grand coup de pied dans le derrière. Vers la fin de la matinée un élève arriva dans l'infirmerie avec un énorme mal au ventre et des vomissement assez fréquent. Après avoir gentiment passé une bassine à l'élève, pour sauver son parterre de blanc immaculé, de quoi calmer ses vomissements et maux de ventre, Daisuke (pour faire plus court) appela d'abord les parent du pauvre malade pour que ceux ci vienne le chercher et le ramène chez lui, puis il appela l'administration de l'établissement pour donner son autorisation au départ de l'élève.

L'infirmerie redevint calme, enfin si l'on puis dire car les vomissements de l'élève n'étaient pas comparable à une douce musique traditionnel. Une demie heure plus tard la mère de celui ci vient se présenter à l'infirmerie pour récupérer son enfant. Daisuke la salua poliment, l'informa de l'état de santé de l'enfant, lui conseillant d'aller d’aller voir un médecin pour soigner cette vilaine gastro-entérite. Il raccompagna les deux personne vers la sortie de son infirmerie, les salua avant leurs départ, puis se tourna vers une présence qui semblait être son prochain patient, manque de pot une fille.

-Entrez, dit-il simplement, passant devant l'élève se dirigeant vers une table ou trainer des document bien classer et une tasse pleine de café.

Il Pris place sur un fauteuil à roulette simple, les chose simple son toujours les meilleur d'après lui, puis indiqua une chaise près de lui à la nouvelle venue.

Eve s'était difficilement levée ce matin, elle avait très mal dormis. Le personnes normales ne comprendront certainement pas que c'était à cause de Miroir, qui n'avait cessée de crier, ce qui avait filé un sacré mal de crâne à la fille aux cheveux arc-en-ciel. Eve écoutait d'une oreille distraite sa tutrice, Charlotte, qui lui parlait d'une prochaine affaire avec les parents d'une élève de sa classe. Bref, Lottie comprit vite qu'il ne fallait pas déranger la schizophrène, puisque cette dernière avait mit sept cuillers de sucre dans son thé. Cette dernière était arrivée à la porte quand Charlotte lui avait tendu une boîte de cachets Contre Miroir, disait-elle.

Son état ne s'était pas amélioré lorsqu'elle était arrivée dans l'établissement, et même après avoir suivi les cours. Sa classe bruyante n'arrageait rien, puisqu'il faut savoir que les jumeaux passent leur temps à brailler. C'est donc bourrée de cachets qu'elle s'était assise au fond d'une des bibliothèques, le visage caché par un livre. Toute personne sensée aurait comprit qu'elle ne lisait pas, puisqu'elle avait les yeux fermés. C'est finalement sa respiration haletante et son visage virant au rouge qui avait alerté la bibliothéquaire qui lui conseilla d'aller voir à l'infirmerie. Eve savait bien sûr que presque rien ne pouvait y faire quelque chose, mais elle se décida à aller quand même demander à l'infirmier scolaire s'il pouvait lui donner quelque chose, au moins pour soulager son mal de crâne.

La fille aux cheveux multicolores marchait clopin-copant dans le couloir interminable qui menait vers l'infirmerie, et dans sa tête, elle entendait sans cesse Miroir brailler, rire et crier. Hi hi ! Tu es pitoyable, Eve ! Si tu ne souris pas, je vais m'occuper personnellement de ton corps ! Chut ! Silence ! Laisse-moi Miroir ! Je suis la seule maitresse de mon corps alors vas-t'en !
Les élèves regardait bizarrement cette drôle de fille en plein monologue, assise au milieu du couloir, mais Eve et Miroir n'avaient que faire de ces élèves oisifs et idiots. Quand la schizophrêne arriva aux alentour de l'infirmerie, elle vit sortir un élève accompagné de sa mère. Il avait l'air bien mal, le pauvre ! Bref, elle s'arrêta devant la porte de l'infirmerie et hésita un instant avant d'entrer. Certes, elle était habituée à y aller, vu ses crises fréquentes, n'empêche qu'elle n'appréciait pas vraiment l'infirmier : il se montrait trop sec avec elle, au contraire qu'avec les garçons. Et puis Miroir allait se moquer si elle demandait de l'aide à une personne extérieur... Dis, ma petite Eve... On parie ? Moi je pense que tu vas te faire virer froidement ! Ok ! Je parie qu'il va m'accepter mais se montrer désagréable ! Bien, cent mille yens pour la gagnante ! Elle prit son courage à deux mains et frappa à la porte.

-Entrez

Gagné, il avait l'air fort déçu que ce fut une fille, vu son ton.

-Hum... C'est encore à cause de Miroir, j'ai mal à la tête et aussi peut-être un peu de fièvre...

Eve se mordit la lèvre inférieure. Qu'est-ce qu'il allait répondre ? Allait-il la virer, comme Miroir l'avait prédit ?

A peine installer au petit bureau dans la grande salle, Daizennosuke ne porta pas le moindre regard à la jeune femme, d’ailleurs il ne savait même pas si c'était une élève qu'il connaissait ou pas. Il apposa sa signature sur deux document médicale et tout en remplissant l'un d'entre eux portant sur l'élèves venant de quitter l’établissement. Mais il ne resta pas longtemps concentré sur ceux ci reconnaissant la voix de la jeune fille qui était entré à sa suite et qui ne semblait pas s'être installé sur la chaise que celui ci lui avait désigné. Pourquoi fallait-il qu'en plus que sa patiente soit une fille ce sois celle qui avait déjà réussi à pulvérisé sa machine à café sans même y toucher plusieurs fois. Enfin Daizennosuke était persuadé que c'était ça faute, c'était tout de même étrange que celle si tombe toujours en pane à chaque fois qu'il avait eu affaire à elle, et qu'en plus la seul personne qui puisse réparé celle ci soit en congé ou trop malade pour la réparer. Une malédiction ambulante, espérant que cette fois ci la machine à café survive à cette visite...

-Hum... C'est encore à cause de Miroir, j'ai mal à la tête et aussi peut-être un peu de fièvre...

L'infirmier porta donc toute son attention sur la demoiselle préfèrent l'avoir à l'oeil, mieux valait ne pas prendre de risque. A la fois il était à la voir dans son infirmerie depuis que celle ci avait commençait ses étude à Ouran. Daizennosuke ouvris l'un des tiroirs du bureau sans quitter la jeune fille des yeux, sans dire mots habituer à ses symptôme fréquent de la part de la jeune Eve. Puis il porta son attention sur les petite boite dans le tiroir, ouvert, et en sortie l’habituelle boite d'aspirine. Il remplit à moitié un des nombreux gobelet en plastique qu'il avait en réserve, puis y laissa tomber le cacher qui commença à se dissoudre doucement avant de tendre le tout à la demoiselle.

-Ceux ci devait déjà calmer tes maux de tête, dit-il simplement, puis une fois que la jeune fille eu pris en main le vers il s'éloigna pour allez chercher un thermomètre pour pouvoir prendre la température de celle ci. Je compatis à ton calvaire, ma nièce me donne des sacrés maux de tête de temps en temps quand elle est présente. Heureusement que je ne dois pas la supporté tous le temps comme miroir, dit-il en revenant assez vite près de la demoiselle le thermomètre en main, l'agitant pour que celui ci soit prés à l’emploi, avant de le tendre à celle ci.

L'infirmier ne porta pas le moindre regard à Eve, mais il l'avais quand même acceptée. Elle chuchota un léger : J'ai gagné ! a Miroir, avant de porter son attention à la machine à café, avant de se souvenir que c'était généralement ce pauvre appareil qui subissait la malchance que la schizophrêne attirait. Cette malchance, c'est la faute de Miroir ! Les personnes ou les objets s'approchaient trop de la demoiselle risquait bien des choses, une vrai malédiction ! La dernière fois, ce pauvre élève qui avait eu le malheur de demander à Eve si elle allait bien s'était cassé la figure en plein milieu du couloir. Et puis la petite fille qui avait demandé à Mlle Millais si elle avait vu sa maman s'était prise un poteau dix mêtres plus loins. Bref, tout ça pour dire qu'il ne valait mieux pas s'attarder lors d'une conversation avec elle, et raser les murs lorsqu'elle passait dans le couloir !

-Ishikawa-sensei... Votre machine à café fonctionne...?

Peut-être. Mais pas pour longtemps, vu que Eve avait décidé de passer à l'infirmerie. La demoiselle aux cheveux arc-en-ciel reporta son attention vers l'infirmier, qui la gardait à l'oeil, visiblement. Certainement qu'il ne voulait pas que sa machine à café subisse une énième fois la malchance qui emmanait de la schizophrêne. Ma fois, c'était compréhensible ! Eve remarque Miroir adossée contre le mur dans un coin de la pièce, un sourire méprisant sur le visage. Miss Millais décida d'ignorer celle-ci, et porta toute son attention vers l'aspirine qui se dissolvait dans le verre en plastique qu'elle tenait dans sa main.

-Ceux ci devait déjà calmer tes maux de tête.

Eve murmura un léger Merci , et suivit du regard l'infirmier qui allait visiblement chercher un thermomêtre pour prendre sa température.

-Je compatis à ton calvaire, ma nièce me donne des sacrés maux de tête de temps en temps quand elle est présente. Heureusement que je ne dois pas la supporté tous le temps comme miroir.

Eve prit le thermomêtre et le mit dans sa bouche, et sourit légèrement.

-Votre nièce ? La blondinette de seconde D ? Elle a l'air amusante... Quant à Miroir, elle n'est pas constamment là, elle est là... Souvent. Et même la nuit, elle m'empêche de dormir. Miroir est très bruyante...

La schizophrêne indiqua à M. Ishikawa le coin de la pièce où elle voyait Miroir éclater de rire. Laisse tomber, idiote ! Il ne te croit pas ~. Mlle Millais soupira.

-Vous voyez ? Elle se moque tout le temps de moi !