Ouran Rpg
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 Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia)

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Val Inagawa
Yakuza matheux fan de moisissures
Val Inagawa


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Compétence Passive: A des informations générales sur les élèves enfants de yakuza.

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MessageSujet: Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia)   Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia) EmptyLun 4 Juil - 18:56

Bon, on peut dire que c'était un peu plus calme à présent. Enfin, on peut le dire, ou pas du tout. Val traversa le couloir d'un pas pressé en direction de l'infirmerie. Il lui était impossible de passer discret dans ce lycée, totalement exclu. Il s'était retrouvé à peine quelques minutes plus tôt dans la bibliothèque, allongé par terre - et son dos en avait bien souffert avec la brutalité de sa chute - avec une folle nue assise sur lui. Sans le moindre sous-entendu, certainement pas, surtout pas avec Délizia tout de même. Héritière du plus grand Clan Yakuza, c'était impensable, le monde allait souffrir avec à la tête d'une telle organisation la plus grande folle qui soit. L'étrange jeune fille aux cheveux roses qui se prenait pour Thanatos était bien mignonne à côté de cette furie. Enfin, pour le moment, ce qui obnubilait l'esprit de Val c'était l'idée d'aller à l'infirmerie au plus vite pour soigner ces douleurs de dos, en espérant également que l'infirmier, lui au moins, serait plus calme ou au moins mature. Les jeunes étaient trop insupportables.

Il arrivait au bout du couloir pour aller à l'infirmerie quand une petite tête bien connue apparu à l'embranchement. Il étouffa un cri en manquant de s'étouffer, se plaquant en une fraction de seconde contre le mur qu'il venait de dépasser. Non ! Pas elle ! Pourtant, elle était bien là, à quelques mètres. Il se pencha légèrement en retenant une grimace, l'air agacé : la jeune fille avançait dans les couloirs, toujours avec ce petit air innocent mais qui cachait une irresponsabilité sans bornes. Elle avait beau ne jamais être vêtue pareil et porter des perruques, Val aurait reconnu entre mille cette horrible catastrophe ambulante qui faisait de sa vie si calme jusqu'à présent un véritable enfer. La tempête s'avança dans le couloir et s'arrêta au niveau de l'infirmerie, regardant autour d'elle comme cherchant quelque chose. Ou sans doutes quelqu'un.

Hors de question de s'attarder ici ! Val profita du fait qu'elle faisait demi-tour pour se presser de faire demi-tour. Il valait mieux éviter l'infirmerie, elle devait se douter qu'il y irait à cause de sa fragilité. Inutile également de se cacher dans la bibliothèque, elle y retournerait sans doutes. Quant aux classes, c'était trop facile d'y penser, quoi que pour elle... Mais mieux valait penser plus bête encore : le côté pensionnaire, dortoir des garçons. Là, au moins, elle ne devrait pas le suivre. Tout en marchant, il sortit un livre de sa poche en se plongeant dedans, espérant qu'il n'attirerait pas l'attention sur lui et éviterait plus encore de rencontrer Délizia. Mais alors qu'il avait atteint le bâtiment des pensionnaires, un grondement inquiétant se fit entendre au loin.

*Ne me dites pas que...*


Il s'arrêta, sentant un frisson lui parcourir la nuque et une grimace se fixant à son visage. Ce bruit, il l'aurait reconnu entre mille, mais le simple fait d'imaginer qu'"elle" recommence lui était impensable. Il se retourna doucement, très lentement, un nuage de poussière lui arrivant soudainement dessus. Une centaine de mètres derrière, une véritable tempête d'objets et de gens bousculés en tous sens s'était formée, avec au milieu une véritable démon au sourire rayonnant et au rire d'enfant qui appelait son prénom.

"DÉLIZIA ?!", s'étrangla-t-il.

La seconde qui suivait il avait déjà pris ses jambes à son cou, se pressant à l'intérieur du bâtiment des pensionnaires en entendant des cris derrière lui, sans doutes de ceux qui subissaient les dégâts du passage super-rapide de la yakuza. Il bouscula quelqu'un qui sortait de l'entrée sans même lui accorder un simple pardon, se précipitant immédiatement dans le bâtiment. La folle défonçait littéralement la porte alors qu'il avait atteint le niveau supérieur. Il retint un juron, se pressant d'entrer dans le dortoir des garçons et de refermer derrière lui. Le silence se fit. Il déglutit avec difficultés, retenant un soupire, et se précipita d'un pas pressé vers sa chambre, s'enfermant à double tours à l'intérieur.

Là, il s'accorda enfin le luxe de soupirer de soulagement... Avant d'entendre des pas dans le couloir. Quelqu'un qui sautillait joyeusement d'un pas léger. Les lèvres de Val s'étirèrent en une grimace de fausse douleur mêlée à du dégoût. Il se dépêcha de s'éloigner de la porte, trébuchant dans sa précipitation en tombant à moitié sur son lit alors que soudainement la porte s'ouvrait à la volée. Ou plutôt, était enfoncée sans la moindre délicatesse par une petite démone...
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Délizia Tsukasa

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Délizia Tsukasa


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MessageSujet: Re: Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia)   Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia) EmptyVen 8 Juil - 18:12

Aha ! Et voila le travaille, ces filles étaient vraiment trop faciles à berner. Moi la grande Délizia je viens de trompé des furie à mes trousses avec ma super tenu de camouflage : Jessica Rabbit. Qui pourrait me reconnaitre sous cet apparence des plus sexy, ma robe rose à paillette ultra glamour, mettant en avant mes forme alléchante dont je suis loin d'être dépourvu, et ma super chevelure rousse qui cache la moitié de mon visage. D’ailleurs je les ai vue continuer leurs course droit devant sans prêter la moindre attention à moi. Je marchais donc maintenant dans les couloirs précédemment pris menant à la bibliothèque. Il faut absolument que je montre à Valou comment je suis la reine du camouflage et en plus j'ai entendu des rumeurs sur un super endroit que je veux allez visité. Je suis sur qu'il serra d'accord pour m’accompagner la bas, après tout c'est mon future bras droit, donc il se doit de m'accompagner dans se genre d’excursion. Bref... Biblio-machin en vue !! Une fois la porte par la quel j'étais entré plus tôt franchi, et ou j'avais évidemment croisé Valou, je tombe sur...personne ?? * Ben il est passé où ?* Je traverse en courant chaque rayon de la grande pièces remplit de livre en criant le nom de mon bras droit avant de me stopper et de sortir de la salle plus calmement, partant à la recherche du jeune homme brun.

Je partie en direction de l'ail ouest en prenant le chemin le plus court pour atteindre les étages inférieur : l'escalator de secourisme. C'est un chemin super rapide, il suffit de descendre l'escalator et après, hop !! Je me glissa à l'intérieur du batiment par une des nombreuse fenêtre de l'infirmerie. Mais moi qui m'attendait à être accueilli les bras ouvert par mon tonton... Il faut croire que ce n'est pas le jour, il fait une drôle de tête comme s'il se retenait de ne pas se mette à crier. Tien ? J'ai atterrie sur quoi moi ? C'est pas très confortable. Je me lève donc de l'endroit ou je me trouve et regarde l'arrière de ma robe.

-Oh non ! Je venais à peine de l'essayer, dis-je toute déçus avant de sentir quelque chose m'empoigner dans le haut du doc et par les fesse.

-DEHORS !!! ESPÈCE DE CALAMITÉ AMBULANTE, SOURCE DE MALHEUR, me cris à s'en casser la voix Ojisan en me jetant hors de l'infirmerie, me faisant atterrir sur les fesses sur le carrelage froid du couloir.

Je me relevais avec souplesse et commença a empoussiérer ma robe tacher, avant de me remettre en route comme si de rien n'était, cherchant du regard une éventuel présence du jeune homme. Décidément il est fort à cache cache lui, il pourrait presque me battre. Mais personne ne résiste bien longtemps à l’œil de pigeon de la grande Délizia. Sortant des jumelle, dont ne sait où, je commença à regarder dans celle si chaque personne que je croisais dans les couloir, tout ça en étant à quelques centimètre de leur visages. Puis une fois chaque personne du couloir observé, je remonta au second étage. Une fois l'identité de chacun des individu confirmer comme n'étant pas la cible recherché, j'ouvris la fenêtre la plus proche et tout en faisant l’équilibriste, faisant ainsi paniquer les élèves au tours de moi, je repéra dans la cours un point noir avec un bouquin se diriger vers le côté pensionnaire.

-INDIVIDU REPÉRÉ !!! criais-je avant de sauté de la fenêtre, emportant avec moi un des élèves qui cherchait à me retenir.

La suite de la chute fut habituel. Je agrippai à une des branches de l'arbre qui se trouvé dans ma chute puis après m'être balancé un court instant et avoir sauté, en faisant un magnifique salto arrière, je retombai délicatement sur le sol avant de crier un grand "LA CLASSE". Je fit le signe de la victoire en direction du jeune homme qui était tombé avec moi, mais qui lui n'était pas tombé avec classe du tout se foulant la cheville dans la chute. Puis je fit un tour sur moi même, me tournant ainsi dans la direction de mon bras droit, et me mis à m'agiter dans tout les sens en criant pour attirer son attention. Puis voyant que celui ci ne réagissait pas je m'élançai en courant dans sa direction soulevant sur mon passage un nuage de sable, de cailloux, d'objet et de personne. Les yeux plissé et brillant, je me remis à hurler en direction de ma cible de façon menaçante, un sourire sadique sur les lèvres, prête à bondir sur celui ci comme la proie sur son chasseur.

-VAAAALLOUUUUUU !!!!


Me voyant venir dans sa direction, je le vis se retourner et partir en courant en direction des dortoirs. Tien il veut jouer à chat maintenant ? J’accélérai pour éviter de me faire semer et au passage pour réduire la distance entre nous. Il entre dans le bâtiment, fermant la porte derrière lui. Aha ! Personne n’échappe aussi facilement à la grande Délizia. Ne prenant même pas la peine de freiner ma course, je défonça la porte avec ma super technique de la mort : " TATSUMAKI HAKAIRYOKU !! " (traduction : tornade destructrice). Une fois celle si effectuer je retomba de façon très classe sur le sol, avec mon tout nouveau costume de Tsunade, relevant de façon tout aussi classe la tête comme dans ses grand films Yakuza que Chichi m'emmène souvent voir. Même qu'il loue toute la salle rien que pour moi. Je l'aime mon Chichi quand il fait ça pour moi, c'est le meilleur des Chichi, même que j'ai le droit à un énorme pots de pop-corn pendant le films. Mais revenons à l'objectif du jours : Valou. Je me stoppa un instant pour regarder au tours de moi, cherchant la dite cible dans les allant tours, encore une fois. Puis celle ci retrouvé, je pointais Valou du doigt dans un grand : "Aha !!!", avant de m'élancer dans les escalier menant à celui ci et accessoirement au dortoir des hommes. Arrivé au niveau de la porte celle ci se referma violacent sur moi, me bloquant l’axé au dortoir des hommes. D’ailleurs le jeune homme qui venait d'en sortir, juste avant que Valou ne s'y engouffre, me retint par le col de ma veste kakis , pointant la porte en essayant de m'expliquer quelque chose d’incompréhensible sur l'intimité d’autrui, sur dieu et ses pêchés capitalistes. En aillant assez d'entendre des truc encore plus désorganisé que les réunions de Chichi, je le décale gentiment avant d'entré rapidement dans le couloir du dortoir des hommes, tout en referment soigneusement la porte derrière moi.

Je longeais le couloir lisant les nom des propriétaire de chacune des chambre avant de tomber sur celui de mon bras droit. Je me stoppa devant la porte avec un grand sourire de satisfaction. Je pris une grande inspiration, puis dans un grand...

-DYNAMIC ENTRY !!! je défonça la porte façon Gai. Yatta !!! Je t'ai trouvé, dis-je en pointant du doigt le propriétaire de la chambre. Valou ? Valou ? Valou ? Valou ? ...

Arrêtais-je pas de dire en suivant le dit Valou dans toute la pièce jusqu’à ce que je me retrouve sur le lit à sauté comme une folle attendant que celui ci m'accorde toute son attention. Après tout c'était super ultra intéressante ce que j'avais a lui dire. Une demande d'accompagner la grande Délizia dans sa nouvelle aventure était un véritable honneur et on se devait de porté toute son attention sur les information de la dite prés mission.
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Val Inagawa
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MessageSujet: Re: Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia)   Car où qu'on soit on n'est jamais tranquille (Délizia) EmptyVen 22 Juil - 12:04

La porte retomba lourdement au sol - pauvre porte, fini l'intimité pour l'instant - en laissant une véritable tornade entrer d'un bond, pieds en avant, chose que Val évita de justesse de se prendre dans la figure en se précipitant sur le côté ; à croire que peut-être il commençait à s'habituer à Délizia, sauf à ses déguisements comme son précédent déguisement de...

"DYNAMIC ENTRY !!!"


Hum... Bon, certes, cela va de soi, Val n'était guère le genre de personne à s'y connaître dans les loisirs des jeunes, allez lui demander des informations sur les présentes grandes stars ou les derniers jeux sortis il ne niera pas sa totale ignorance de ceux-ci, mais il n'était pas non plus totalement coincé, il lui arrivait quand même de sortir un peu. Ou en tous cas, juste assez pour savoir tout à faire que Délizia venait de faire un superbe mélange entre deux personnages tout à fait opposés. Ses yeux retombèrent sur la poitrine proéminente qui lui faisait à présent face.

"... Galère...

-Yatta !!! Je t'ai trouvé !"


Val se releva avec un long soupire, portant sa main à son crâne comme pour mimer un mal de crâne naissant, ce qui ne tarderait sans doutes pas d'être vrai si la blondinette continuait de le suivre comment ça en répétant d'une voix forte et désagréable encore et toujours ce même surnom tout à fait ridicule qu'elle avait donné à celui qu'elle considérait comme son bras droit, allez savoir pourquoi. En tous cas, hors de question d'oser imaginer accepter cette invitation de la part d'une telle folle qui ne réussirait qu'à le rendre totalement fou avec son comportement pitoyable.


"Valou ? Valou ? Valou ?"


Le brun ignora totalement les appels continuels de Délizia, ramassant son livre d'un air distrait en se dirigeant vers la fond de la chambre qu'il avait aménagé pour pouvoir se faire son thé quand il le voulait, espérant qu'à force de se faire ignorer la blondinette finirait pas abandonner. C'était même pas la peine d'y penser, mais on pouvait toujours rêver.

"Valou ? Valou ? Valou ?"

Val déposa le petit sachet de thé dans la théière et s'adossa au mur à côté, ouvrant son livre pour continuer sa lecture. Il faut croire qu'il commençait petit à petit à s'habituer à la présente exaspérante et tout à fait inutile de la blondinette qui n'avait de cesse de le suivre partout, présentement également puisqu'elle était juste devant lui à répéter encore et toujours le même surnom insupportable de sa voix d'enfant. Val releva la tête après un moment, regardant sa montre, et poussant avec douceur Délizia se dirigea avec un soupire vers sa théière.

"Valou ? Valou ? Valou ?"

Il se servit calmement sa tasse et d'un pas toujours aussi lent et lourd se dirigea vers son lit, posant son thé sur la table de chevet pour éviter que Délizia, à force de sauter sur le lit comme sur un trampoline, ne le renverse inexorablement. Puis il continua sa lecture en commençant à se masser le front ; il allait bien falloir qu'il lui apporte l'attention voulue, sinon c'était dans l'établissement entier qu'elle le suivrait. Elle était infatigable, tout simplement.

"Valou ? Valou ? Valou ?"

Val soupira, fermant son livre en lui faisant le geste d'attendre un instant. Il se releva pour éviter que les bonds de la blondinette sur son lit ne le fasse faire tomber tout ce qu'il tiendrait, rangea son livre de poche, eh bien, dans sa poche - non, sérieusement - et prenant calmement sa tasse en bu quelques gorgés avant de s'assoir.

"Valou ? Valou ? Valou ?"

Le jeune homme arrangea prestement sa chemise qui avait été bien froissée dans sa chute précédent l'arrivée fracassante de la jeune yakuza, se tourna vers elle en lui adressant un sourire tout à fait innocent mais aussi parfaitement fictif ce que, en le connaissant suffisamment, tout le monde pouvait remarquer, et d'une voix mielleuse mais avec le plus de calme possible dans une telle situation - sachez cependant qu'y étant habitué il pouvait encore se retenir de tenter de l'étrangler, étant tout à fait conscient également que le moindre geste menaçant lui vaudrait un allé simple au cimetière avec une fille pareille - lui annonça poliment :

"Je suis tout ouïe très chère."

Sérieusement, avait-il seulement le choix avec une telle folle ?
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